En principe, en période de confinement, le geek n'est pas le plus mal loti. Entre son intérêt pour le cinéma, les séries tv, les livres, les bd ou les jeux vidéo, il a généralement de quoi s'occuper. Si malgré tout vous commencez à tourner en rond et qu'être enfermé vous tape un peu sur les nerfs, voilà de quoi relativiser...
- Shinning de Stanley Kubrick (1980): Parce que vous n’êtes pas enfermé avec Jack Nicholson dans un hôtel hanté. Et pourquoi pas passer tout ce temps libre à écrire un bon roman…
- Un jour sans fin (1993) : Parce que comme Bill Murray piégé et obligé de revivre continuellement la même journée, vous pouvez exploiter votre situation et en profiter pour apprendre à jouer au piano, apprendre une langue étrangère…
- Cube, de Vincenzo Natali (1997): Parce que, contrairement aux protagonistes du films, vous n’êtes pas enfermés dans un pièce cubique où vous risquez en permanence votre vie…
- Seul au monde de Robert Zemeckis (2001): Parce que si vous pouvez lire cet article, c’est que vous avez le wi-fi au moins…
- The Hole de Nick Hamm (2001): Parce qu’être enfermé deux semaines avec des camarades de classe plutôt que votre famille ne serait pas forcément une bonne idée…
- Panic Room, de David Fincher (2002): Parce que contrairement à Jodie Foster vous n’êtes pas enfermés avec des cambrioleurs…
- Sunshine de Danny Boyle (2007): Parce que même si c’est moins classe qu’être enfermé dans un vaisseau spatial en route pour faire revivre le soleil, vous pouvez sauver des vies juste en restant chez vous…
- Buried, de Rodrigo Cortés (2010): Parce que contrairement à Ryan Reynolds, vous n’êtes pas dans un espace clos, enterré sous terre, avec 90 minutes d’oxygène…
- Gravity de Alfonso Cuarón (2013): Parce qu’on a beau être confiné dans un espace parfois réduit, on n’est pas totalement livré à nous-même non plus…
- Room de Lenny Abrahamson (2015): Parce que Brie Larson a courageusement survécu au confinement et au pire des proprios. Et même qu’elle est même devenue Captain Marvel…
- 10 Cloverfield Lane de Dan Trachtenberg (2016): Parce que vous n’êtes pas enfermés avec un type louche…